15 juin 2008
Encore, presque..
Et soudain, je n'ai rien compris, tes cils d'ombres et ton rire crescendo, souffle d'arbre sur l'écorce de ta peau, chemins de douceur,
Et soudain,
Ta voix dans mon silence,
Ta bouche sur mon épaule
Ton sommeil sous mes mains.
Et soudain, l'obscurité belle, accrochée autour de mes chevilles, et tous les après du monde, à espérer.
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